La loi impose aux salariés de se soumettre à des visites médicales de travail obligatoires.
Au nom de l’obligation de sécurité et de résultat à l'égard des salariés, c’est l’employeur qui doit organiser ces visites médicales.

Ainsi, vous êtes parfois amené à gérer ce volet et il peut être difficile de s’y retrouver !
Qui fait quoi ? Quel planning ? Quelles obligations ?

Afin de vous accompagner dans la gestion des visites médicales pour vos salariés, nous vous proposons de faire le suivi de celles-ci.


Plusieurs types de rendez-vous à gérer

Les Services de Santé au Travail ont pour mission d’éviter toute altération de la santé des travailleurs du fait de leur travail.  Les salariés bénéficient d’un suivi médical obligatoire tout au long de leur vie professionnelle dans l’entreprise.

Les différents types de rendez-vous au fil du temps :

  • – visite d’embauche,
  • – visite périodique,
  • – visite de pré-reprise et de reprise,
  • – visite de liaison.

Notre accompagnement

Nous savons que la gestion des obligations relatives à la médecine du travail peut être chronophage. Nous pouvons la gérer pour vous à distance .

Nous nous adapterons à votre entreprise et à vos attentes en assurant un suivi tout au long de l’année. Cette mission est un complément de notre mission principale.

Ces travaux comprennent : 

  • – la gestion de vos salariés (entrées / sorties) sur votre espace Médecine du Travail
  • – la prise rendez-vous auprès de la Médecine du Travail (embauche, reprise, pré-reprise, liaison)
  • – le suivi des attestations d’aptitude / inaptitude

Pour toutes demandes d’informations, nous vous invitons à contacter notre pôle social.

La tarification vous sera remise sur demande.


Risques et sanctions en cas de non-respect des obligations 

Le fait de méconnaître les dispositions relatives aux missions et à l’organisation des services de santé au travail, notamment les visites médicales du travail obligatoires, est puni pour l’employeur de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe, c’est-à-dire 1500 euros (article R 4745-1 du Code du travail). Cela peut aller jusqu’à une peine de prison en cas de récidive (article L. 4745-1 du même code). Le risque prud’homal est également présent, la faute inexcusable de l’employeur peut entraîner le versement de plusieurs mois de salaires à titre dommages et intérêts.